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page Pour le mieux-être de la personne. Support parental et familial ainsi qu'aux intervenants jeunesse. Formation en intervention jeunesse 0-24 ans. |
vendredi, février 09,
2007
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2/09/2007 03:36:00 PM by St?phane EN CAGE ? VRAIMENT ? L'histoire de l'enfant en "cage" à l'école Saint-Paul de la Commission scolaire de l'Énergie me semble un beau cas où les médias viennent amplifier une histoire sans avoir pris le temps d'obtenir toutes les informations utiles afin de mieux comprendre la situation réelle. Le SPECTACULAIRE: Un enfant en CAGE... Moi lorsque j'entends cette phrase, je vois tout de suite une cage pour animaux et le petit dedans, en prison et je crois que la majorité des gens ont eu la même image en tête. Alors que dans la réalité, il s'agit d'un espace à même la classe, fermé sur deux côtés, avec un treilli sur un autre et ouvert sur le quatrième côté... Un espace de répit pour l'enfant et pour les autres enfants de la classe. Un temps d'arrêt avec moins de stimuli. Je trouve qu'il s'agit d'un moyen acceptable pour gérer certaines situations plus difficiles. Bien entendu, le temps passé en "'isolement" est important. Le but est-il de punir ou d'aider l'enfant à reprendre son calme, à se reprendre en main. Lorsqu'on s'offusque d'une situation, on doit d'abord se demander s'il s'agit d'une situation vraiment inacceptable et il serait intéressant également d'avoir des alternatives efficaces à proposer. Le véritable problème, dans l'histoire c'est que cet enfant ne reçoit pas les services dont il aurait besoin. Le problème, c'est également le manque de confiance des parents envers les professionnels de l'école. Le problème, c'est ce manque de collaboration afin d'aider l'enfant dans ses difficultés. Ici, je ne mets la faute ni sur les parents, ni sur l'école. Ce n'est pas des coupables qu'on doit trouver mes des personnes responsables qui cherchent des solutions. Le problème est que ce manque de confiance, de collaboration se produit trop souvent. Et la victime est toujours l'enfant au bout du compte. Libellés : collaboration, comportement, confiance, enfant, parents, école dimanche, décembre 11,
2005
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12/11/2005 04:53:00 PM by St?phane Advenant un pourcentage élevé en faveur à la réforme, il sera alors important d'en analyser le réel message et non seulement l'interpréter comme un appui à cette réforme. Après avoir tâté le pouls de certaines RSG, j'ai pu constater que ces dernières semblent divisées face à cette réforme. Que peut vouloir dire un "OUI" ou un "NON" à la réforme? Il se peut qu'un "OUI" en soit réellement un et que les RSG désirent réellement cette réforme. Cependant, il semble plutôt que les RSG pro réforme soient en grande partie insatisfaits de la gestion des dollars que reçoivent leurs CPE. De façon plus claire, il semble que certains CPE n'aient pas rendu ou semblent n'avoir pas rendu les services auxquels ils auraient eu droit. Auront-ils plus de services avec cette réforme ? Personnellement, j'en doute, car les organismes seront beaucoup plus éloignés des RSG (territoires environ 6 fois plus grands ou 6 fois plus de RSG pour un organisme de contrôle). Ceci aura un impact certain sur les services rendus aux RSG. Certains diront que les RSG seront mieux servies mais le doute demeure important lorsqu'on sait qu'un des buts recherché par la réforme (selon moi pratiquement le SEUL but) est d'économiser des dollars, des millions de dollars. Dans un tel contexte, il serait surprenant que le suivi soit à la hauteur. Alors que les RSG qui sont contre la réforme semblent, elles, satisfaites des services reçus. Donc la réforme n'a pas lieu d'être étant donné qu'il serait complètement absurde de tout chambarder au lieu de s'attaquer au réel problème et viser directement les CPE qui ne respectent pas l'entente qui les lie avec les RSG et le ministère. Un gouvernement qui s'est fait élire en se disant à l'écoute des municipalités, et qui a redonné le droit de parole aux citoyens dans le dossier des fusions municipales, ne semble pas aussi démocratique dans le dossier des Centres de la petite enfance. Il ne faut pas oublier que le but des CPE est d'offrir une qualité de services aux enfants dans les installations, mais également de superviser cette qualité dans les milieux familiaux tout en appuyant les RSG dans leur intervention avec les petits. Les CPE sont des organismes à but non-lucratif et ce détachement du pouvoir en place garantit une certaine indépendance malgré le contrat que les lie au gouvernement. Tout chambouler sans une véritable concertation de tous les acteurs aurait pour conséquence de favoriser des brèches importantes dans ce système qui entre à peine dans sont adolescence. À moins que le second objectif du gouvernement Charest et de sa ministre soit de redonner du pouvoir à leurs amis... du genre PPP... Sinon M. Charest, Mme Théberge expliquez-nous... Expliquez-vous clairement et rapidement. Pour un gouvernement qui a dit: "Nous sommes prêts", vous semblez plutôt prêts à mettre la pagaille... En terminant, n'oublions pas que le but premier d'un service de garde en installation (CPE ou Garderie privée) ou en milieu familial, c'est avant tout le mieux-être des tous petits et non le bien-être des adultes ou l'argent... Autres liens pour mieux comprendre et VOUS faire votre PROPRE idée de ce Projet de loi: jeudi, décembre 08, 2005
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12/08/2005 04:00:00 PM by St?phane ( CPE et compagnie): Comment peut-on donner plus (de services) avec moins (d'argent)? Qui en sortira gagnant ? Les enfants ou certains adultes ? Pourquoi tant d'empressement ? Le véritable but est-il le service aux enfants et à leurs parents ? Ou bien est-ce pour dégager des $$$ pour baisser les impôts ? Les ajustements ne devraient-ils pas être faits en collaboration avec les acteurs concernés plutôt qu'en confrontation avec eux ? Y'a quelque chose de pas très clair... mardi, octobre 28, 2003
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10/28/2003 07:10:00 PM by St?phane Pourquoi certaines personnes sentent-elles le besoin de défendre avec autant de conviction la fessée? Certain diront qu'une petite tape sur les fesses n'a jamais blessé personne... Mais cela justifie-t-il la fessée pour autant? Ces personnes seraient-elles prêtes à abandonner la fessée même si on leur présentait un autre type d'intervention parvenant au même résultat mais sans violence? Et vous qu'en pensez-vous? Moi je suis totalement contre car elle démontre le sentiment d'impuissance de celui ou celle qui l'utilise ainsi qu'un seuil de tolérance qui semble dépassé. Ca déclenche la peur, la frustration, la colère, le sentiment de vengeance et non le goût de suivre la règle car on y adhère de plein gré. En plus, comment peut-on espérer une société sans violence lorsque la violence fait partie intégrante de l'éducation des petits. Posted
10/28/2003 06:49:00 PM by St?phane Comment se fait-il qu'on trouve inopportun qu'un conseil d'administration d'un CPE ait bien géré son budget et son avenir en prenant soin de mettre de l'argent de côté pour les imprévus futurs. Comment peut-on dire à ces administrateurs qu'ils devront utiliser ce "bas de laine" pour continuer à offrir des heures d'ouverture en fonction des besoins des parents puisque le gouvernement a décidé de moins investir dans la qualité des services aux parents. Un service qui répond de façon inadéquate au besoin qu'il est sensé répondre, donne un résultat qui risque d'être tout aussi inadéquat. Les CPE ont pour fonction d'assurer la sécurité et le développement des enfants qui lui sont confiés. Par l'entremise de son personnel qualifié, les CPE son à même d'assurer un dépistage et un suivi précoce chez les enfants qui pourraient présenter certaines difficultés. La mise en place des CPE s'est faite lentement et les résultats à long terme sont encore à venir. Si nous voulons améliorer notre société pour qu'elle produise moins de violence, il est essentiel qu'elle produise moins de rejetés, moins de gens qui souffrent émotivement. Si on veut une société plus en santé qui s'entraide, il faut commencer par la qualité de l'encadrement et du suivi des plus petits. Il faut continuer d'investir chez les enfants, de la naissance à l'âge adulte. mercredi, octobre 08, 2003
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10/08/2003 02:08:00 PM by St?phane ENFIN... http://www.cyberpresse.ca/monde/article/1,151,1062,102003,456325.shtml Posted
10/08/2003 02:05:00 PM by St?phane La CSDM a décidé de tolérer la consommation de marijuana à l'école: http://www.cyberpresse.ca/actualites/article/1,63,0,102003,454855.shtml Drogue: l'école abdique Cyberpresse et Marie Allard (La Presse) http://www.cyberpresse.ca/actualites/article/1,63,0,102003,454725.shtml Posted
10/08/2003 01:57:00 PM by St?phane mercredi, mai 21, 2003
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5/21/2003 09:06:00 AM by St?phane C'est le temps des formations en animation ce qui me donne beaucoup moins de temps pour enrichir mon weblog. Ce n'est que partie remise, car je réfléchie à des nouveautés pour bientôt... Merci à tous ceux et celles qui utilisent le site Stéphane Vincelette Estimedesoi.net Antredudragon.com mercredi, avril 02, 2003
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4/02/2003 04:12:00 PM by St?phane Visionner le reportage en cliquant ici mercredi, mars 26, 2003
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3/26/2003 07:45:00 PM by St?phane Reportage sur l'école LE DÉCLIC Bravo à toute l'équipe-école, vous me semblez faire un très beau travail. mardi, février 18, 2003
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2/18/2003 10:58:00 AM by St?phane L'éphébophilie était le thème d'un reportage hier au Téléjournal / Le Point. Un petit reportage qui fait réfléchir sur la capacité d'une société à protéger ses jeunes face à l'incapacité d'une partie de ses adultes à faire eux la différence entre une personne prête à faire des choix et des expériences et une personne encore en développement. Il serait peut-être temps que nous regardions les messages que nous véhiculons ou laissons véhiculer. Attention, je ne suis pas pour la censure mais bien pour des messages transparents et surtout plus réalistes, afin de ne pas faire passer un message s'adressant à des femmes de 30 ans par une jeune fille de 15 ans. Vendons la réalité, embellissons-la si nous le voulons mais arrêtons de vendre l'irréel et de promouvoir la distorsion visuelle. Pour écouter le reportage: http://radio-canada.ca/actualite/lepoint/reportages/2003/02/17/ephebo/ephebo.htm vendredi, février 14,
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2/14/2003 09:13:00 AM by St?phane Du 9 au 15 février 2003, c'est la Semaine nationale de prévention du suicide. Vous pouvez visiter le site web de l'Association québécoise de prévention du suicide - AQPS : www.cam.org/aqs Besoin de parler : 1 866 APPELLE (277-3553) Prenez le temps d'écouter... Reportage: L'histoire d'un jeune homme qui voulait disparaître et qui aujourd'hui, suite à une tentative de suicide, est heureux d'être encore de ce monde. (Téléjournal - Le Point de Radio-Canada - 13 février 2003) vendredi, janvier 31, 2003
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1/31/2003 12:21:00 PM by St?phane Suite à ce qui précède (citation de B. Cyrulnik), j'ajouterais que lorsqu'on ne peut dire sans être écouté, notre secret (ou malaise) se transforme en boulet. Lorsqu'on traîne un (ou plusieurs) boulet(s) on risque de tourner en rond ou du moins ralentir notre cheminement vers un mieux être émotif.
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1/31/2003 10:22:00 AM by St?phane "Quand on tait un secret, on fait parler les choses, mais l'entourage souvent s'arrange pour ne pas voir." Boris Cynulnik Une autre entrevue avec Boris Cyrulnik : http://www.telequebec.qc.ca/idees/chasseurs_idees_1999/Enfants2.ra vendredi, janvier 24, 2003
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1/24/2003 06:44:00 PM by St?phane Suite au "Colloque sur l'intimidation et le taxage à l'école", le ministère de l'éducation a décidé que chacune des écoles du Québec devrait se doter d'un plan de prévention pour contrer ce phénomène. Il est temps que quelque chose se passe car cette réalité n'est pas nouvelle. Pourquoi faut-il toujours que le besoin de faire bouger les choses se produise lorsque les médias mettent en lumière le phénomène. Avant, n'était-ce pas grave, pas important? Et maintenant, qu'est-ce qui se passera? Parlerons-nous beaucoup sans s'investir ou serons-nous créatifs? Un partie de la solution est assez simple et elle vaut pour l'ensemble des problématiques comportementales que l'école a à faire face. Il s'agit d'être respectueux de l'enfant peu importe son comportement ou son attitude, d'être cohérent, constant, consistant et conséquent et tout ceci semble difficile... Pourtant, il s'agit que TOUS les intervenants du milieu, de la direction à la maintenance, s'assoient ensembles et décident d'intervenir dans la même direction. Il faut se soutenir et croire en l'autre. Il faut également être capable de dire à l'autre de faire la "job" lorsqu'il se défile. Il faut simplement INTERVENIR et non de faire comme si on ne l'avait pas vu, entendu, comme si on ne savait pas parce qu'on a peur des représailles venant de l'enfant ou de l'adolescent agresseur. Si l'on n'intervient pas, c'est qu'on se fait complice de ce harcèlement, de la douleur infligée. J'ai vu plus d'une fois des enseignant(e)s détourner la tête parce que la "petite terreur" de l'école venait de faire une niaiserie et afin de ne pas avoir à intervenir, préféraient continuer leur chemin dans la direction opposée. C'est donner beaucoup de pouvoir à un enfant n'est-ce pas? Pour que la violence s'efface de nos écoles, il va falloir faire également preuve de créativité en utilisant des interventions qui sortent de la norme, du connu afin de bien déstabiliser ces "petites terreurs". Cela doit être fait dans un but et un seul, celui d'aider ces jeunes vivant des difficultés d'adaptation et non de simplement les mettre sur la voie d'évitement. Ils ont besoins de rencontrer des personnes solides, respectueuses, chaleureuses qui deviendront significatives à leurs yeux. Il faut responsabiliser le jeune face à ses actes et aux conséquences de ses actes sur les victimes; au lieu d'accuser et de punir. Des conséquences positives face à des gestes positifs et des conséquences négatives (et non punitives) face à des gestes inadéquats et ce, le plus directement en lien avec l'acte reproché. Certains diront que le problème vient de la cellule familiale et que l'école n'y peut rien. Vrai, beaucoup de choses vient de la cellule familiale mais doit-on abdiquer pour autant? Vrai, l'école n'y peut rien car l'école c'est des murs, du bois et de la brique mais l'équipe-école, elle peut agir... On a du pouvoir sur le territoire de l'école et très peu sur le territoire familiale mais il y a des solutions... Il faut agir et intervenir systématiquement sinon ça ne donne rien de faire quoique ce soit, on perd notre temps, notre énergie. Oser dire, c'est la seule façon que cela cesse et je cite cette phrase de l'article de LA PRESSE du mercredi 22 janvier 2003 :" Quand un jeune a le courage d'intervenir et de s'opposer à des gestes de harcèlement dont est victime un autre enfant, les gestes cessent dans les dix secondes dans 57% des cas, selon les travaux d'une spécialiste de l'université York, à Toronto.". Il ne reste plus aux adultes à intervenir et à enseigner aux enfants à intervenir dans des situations semblables. Personnellement, j'ai de bonnes idées sur les moyens à prendre... À LIRE: OSTRACISME ET HARCÈLEMENT CHEZ LES JEUNES À VOIR ET ÉCOUTER: L'Émission d'ENJEUX (SRC) sur les enfants rejetés Pour une meilleure compréhension de l'impact du rejet et du harcèlement mercredi, janvier 22, 2003
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1/22/2003 12:07:00 PM by St?phane jeudi, janvier 16, 2003
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1/16/2003 07:12:00 PM by St?phane Selon les médecins, les jeunes enfants devraient dormir entre 11 et 13 heures par jour puis vers 13 ans, ils auraient besoin d'environ 9 heures. Chacun étant différent, il faut tenir compte des couche-tôt et des couche-tard et donc, de respecter le rythme propre à chacun. L'idéal est de coucher l'enfant à l'apparition des premiers signes d'endormissement et de les laisser s'éveiller spontanément. Jusqu'à 4 ans, la sieste demeure indispensable afin de compléter les heures de sommeil. Par la suite, elle s'avère utile si elle n'est pas imposée, ni interrompue. Les plus vieux, devraient prendre au moins une période de relaxation leur permettant de récupérer. Le sommeil demeure un besoin physiologique essentiel... mercredi, janvier 15, 2003
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1/15/2003 05:39:00 PM by St?phane Hier le reportage: Trop jeune pour être "sexy" ? à l'émission Enjeux de la SRC, on a pu voir le souci de certains parents face aux choix vestimentaires de leurs filles; choix influencés par la mode, les chanteuses populaires de l'heure, etc. Ce qui me dérange dans tout ceci, c'est ce qui sous-tend cette mode très sexy qui dévoile de plus en plus de peau ou qui en cache de moins en moins. Ce n'est pas tant qu'on y voit plus de peau (une adulte qui fait ce choix demeure une adulte qui choisit en toute connaissance de cause et de conséquences) mais qu'on incite les jeunes filles (de plus en plus jeunes) à dévoiler et à utiliser leur corps à titre d'objet de séduction me laisse très perplexe. De plus, la valeur qui est derrière cette mode m'inquiète grandement puisqu'elle sous-tend également que pour être aimée d'un homme, tout doit passer par le corps. Qu'il faut être pratiquement nue pour être désirable, pour être choisie. Quel message cela lance-t-il à toute jeune fille qui n'entre pas dans les standards G-String, chandail hyper moulant, court et très décolleté ou encore mini-mini-mini-mini-mini jupe. Huit ans c'est très jeune, selon moi, pour porter une mode adulte et 14 ans ça demeure encore l'adolescence. Il ne faut pas oublier que l'estime de soi est en pleine formation. Je ne suis pas sûr du tout que les valeurs derrière cette mode soient saines pour la construction d'un être solide, ayant une solide estime de soi. De plus, cette mode sexy semble faire la promotion d'une certaine acceptation que les enfants puissent être sexualisés et, selon moi, la distanciation (limite) enfant-adulte risque de devenir de plus en plus floue. Les parents ont le pouvoir de dire non à cet état de fait malgré toute l'énergie déployée par le monde du spectacle, de la mode et des médias. Le parent a le droit et le devoir de choisir les valeurs qu'il croit saines pour le bon développement et la sécurité de son enfant. Lorsqu'on est en développement, on doit être encadré puisqu'on n'a pas encore développé la capacité de discernement ainsi que les moyens de défense pour faire face à tout ce qui nous est proposé. Si chaque parent fait le choix de rejeter cette mode pour son enfant, c'est certain que les magasins offriront autre chose car leur but est de faire de l'argent. En même temps, il ne faut pas partir en croisade contre l'industrie et devenir extrémiste. C'est la transposition du monde adulte au monde de l'enfance et de l'adolescence dont il est ici question. Tout comme l'alcool et le droit de vote sont des actes réservés aux adultes, je crois que la sexualisation de la mode doit l'être également. commentaires@antredudragon.com mardi, janvier 14, 2003
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1/14/2003 11:03:00 AM by St?phane Trop jeunes pour être « sexy »? Le phénomène est-il inoffensif ou, au contraire, sommes-nous en train de fabriquer des femmes dans des corps d'enfants? Journaliste : Sylvie Fournier. Réalisateur : Pierre Côté.
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1/14/2003 10:19:00 AM by St?phane
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1/14/2003 10:15:00 AM by St?phane lundi, janvier 13, 2003
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1/13/2003 03:22:00 PM by St?phane
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1/13/2003 09:38:00 AM by St?phane 1- Avez-vous pris soin d'une personne aujourd'hui ou en avez-vous blessé une? 2- Avez-vous dit à une personne qu'elle est importante pour vous et que vous l'appréciée? 3- Responsabiliser plutôt que de culpabiliser... 4- Respect, cohérence, constance, consistance et être conséquent demeure la base de l'intervention! jeudi, janvier 09, 2003
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1/09/2003 01:11:00 PM by St?phane Une merveilleuse entrevue avec Stéphane Bureau à ne pas manquer: http://www.radio-canada.ca/actualite/lepoint/reportages/2002/10/29/cyrulnik/boris.html et une autre avec Jacques Languirand toute aussi intéressante: http://radio-canada.ca/par4/_audio/document/entrevuecyrulnik.ram Auteur de plusieurs ouvrages: Aux éditions Odile Jacob :Les Vilains Petits Canard (2001), Un merveilleux malheur (1999), L'Ensorcellement du monde (1997), Les Nourritures affectives (1993) Aux éditions Hachette :Naissance du sens (1991), Sous le signe du lien (1989), Mémoire de singe et paroles d'homme (1983)
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